Haibane Renmei

Titre Japonais : Haibane Renmei

Titre Français : Ailes Grises

Genre : Drame et Fantastique&Mythe

Année de production : 2002

Studio : Radix

Auteur : Abe Yoshitoshi

Format : 13 épisodes de 25min

Un anime bien particulier qui change des shojo, shonen classique. Une œuvre poétique qui à marqué bon nombres de personnes qui l'ont vu, c'est la raison pour laquelle je me suis lancé à corps perdu dedans. Cette anime est licenciée est donc dispose d'une version française, j'en toucherais d'ailleurs deux mots.

Durant une chute interminable, Rakka ne comprend pas ce qui se passe autour d'elle. Au moment ou ses yeux s'ouvrent, elle découvre qu'elle se réveille dans un cocon. elle semble entendre des voix à l'extérieur. Un cocon découvert par Reki. Elle appelle donc ses amis afin de préparer un certain évènement. Jusqu'au moment où le cocon commence à éclore.

Un scénario qui a un peu de mal à se lancer, on ne sait pas vraiment ce qui nous attend. On est juste immergé dans un monde, un peu particulier, vu par les Ailes Grises. En dépit de cette remarque, l'ambiance générale est ce qui marque le plus. Grâce à elle on passe un bon moment, un moment de grande détente.

Musicalement c'est un petit chef d'œuvre. Pas uniquement parce que c'est censé être un anime poétique mais la musique de l'anime colle parfaitement à cette ambiance calme, reposante. L'opening Kou Otani - Free Bird et l'ending Heart of Air - Blue Flow sont donc très bien adaptés à cette anime.

Vu que l'anime est licencié j'ai vu un bout dans la version française. Et donc.. la version française n'est pas une franche réussite à mon goût. Notamment la voix de Rekka qui m'a déplu. Bref, comme souvent, la version original est ce qu'il y a de mieux!

Graphiquement, Haibane Renmei correspond au reste. Un style assez épurer, reposant, pas de trait grossier, mais j'ai pas été fan.

Les noms des personnages ont tous un lien avec leur rêve qu'elles font régulièrement. Mais on en sait pas plus sur ses rêves la.. Pour éviter une certaine répétition, je tiens à dire que tous les personnages dont je vais parler sont toutes gentilles et généreuses. Bref on dirait un peu des bisounourses.

Rakka, son nom veut dire "chute" (tomber). C'est la dernière venue dans ce monde. Elle ne comprend pas tout ce qui se passe mais s’efforce de s'intégrer au mieux. Cependant elle est curieuse de découvrir le pourquoi des choses. Peut être un peu trop curieuse même.

Reki veut dire "caillou". Elle est l'une des plus anciennes du village. Pas que c'est la plus vieille des Ailes Grises mais c'est celle qui est la depuis le plus longtemps. Elle cache un secret, c'est la plus mystérieuse de tous.

Kuu, ce qui signifie "air", est la plus jeune. C'est la première personne qui deviendra amie avec Rakka. Elle est très curieuse du monde qui l'entour quitte à prendre certains risques.

Hikari fabrique les auréoles pour les nouveaux arrivant. Son nom veut dire "lumière".

Kana est un vrai garçon manqué. Pleine d’entrain elle nous apporte quelques sourires aux lèvres lors de ses apparitions. Kana est une contraction de "kawa" qui veut dire "rivière" et de "sakana" qu'on traduit par "poisson".

Nemu, son nom veut dire "sommeil". C'est la doyenne du village. Elle est également la meilleure amie de Reki malgré un début de relation difficile avec celle-ci.

Haibane Renmei est vraiment une petite exception dans le monde de l'animation. Une œuvre poétique, charmante, qui apporte beaucoup d'apaisement lorsqu'on le regarde. Mais il est loin d'être un chef d'œuvre au vu de quelques défauts.

Pour se changer les idées, voir autre chose que des combats à tout va, il faut le regarder. 

Buzzer Beat

Titre Japonais/Français : Buzzer Beat

Genre : Romance et Sport

Première diffusion : 2009

Chaîne de diffusion : Fuji TV

Réalisateurs : Nagayama Kozo et Nishiura Masaki

Casting : Kitagawa Keiko (Shirakawa Riko) et Yamashita Tomohisa (Kamiya Naoki)

Format : 11 épisodes de 50min

Moi qui aime le basket, je me devais de jeter au moins un coup d'œil sur ce drama. Ce fut finalement plus qu'un coup d'œil puisque je l'ai vu en entier.

Lors d'un match de basket qualificatif pour les playoff affrontant les JC ARCS et les BREX, Kamiya Naoki fait un match correct mais il rate le point du match qui aurait qualifié son équipe. Cependant, c'est son coéquipier et capitaine Utsunomiya Toru qui marque le panier victorieux. Quand à Shirakawa Riko, elle passe une audition de violon. Mais durant son passage une corde de son instrument se casse. Suite à ça, nos deux protagonistes prennent le bus pour rentrer. Mais dans le bus Kamiya Naoki oublie son téléphone portable. Shirakawa Riko et son amie lui prennent donc afin de lui rendre.

Une histoire d'amour entre deux univers des plus distincts. Un mélange plutôt réussit mais le sujet principal de Buzzer Beat est l'histoire d'amour de nos héros. Et en ce qui concerne cette histoire d'amour, elle est plutôt.. ordinaire. Pas ordinaire dans le sens où l'on a déjà vu dans d'autres dramas, mais dans le sens où je n'ai pas été passionné, emballé par cette love story. En dehors de ça, la parti sur le basket m'a un peu dérangé notamment dans des scènes pas très réalistes. Mais c'est certainement dû à ma petite connaissance dans ce domaine la.

L'opening et l'ending de Buzzer Beat est la même musique : B'z - Ichibu to Zenbu. Une musique pas vraiment dans mes goûts mais que je ne déteste pas non plus.

Shirakawa Riko, interprétée par Kitagawa Keiko, est passionnée par le violon et elle souhaiterait en faire son métier. Elle manque un peu de rigueur afin de vivre de sa passion, au début en tout cas, mais l'écouter parler de son amour pour la musique la rend très attachante. En plus de ça, son côté un peu immature fait d'elle quelqu'un d'adorable.

Yamashita Tomohisa joue le rôle de Kamiya Naoki. C'est un basketteur assez talentueux mais lorsqu'il est sous pression il devient quelqu'un de peu fiable. Ce défaut est valable aussi pour sa vie en dehors de sa passion. Chose rare pour notre héros, c'est un personnage assez faible, qui manque un peu de charisme, très gentil et très généreux. Avec toutes ses remarques on se dit qu'il vaut pas grand chose, mais en fin de compte ça le rend vraiment humain.

Nanami Natsuki, interprétée par Aibu Saki, est la petite amie de Kamiya Naoki, au début du drama en tout cas. De première abord, elle est très gentille, attentionnée, sérieuse, soigneuse, bref la femme parfaite. Tout à fait charmante, c'est le personnage que j'ai le plus aimé. En ce qui concerne son mauvais côté, c'est à dire sa relation avec Yoyogi Ren, c'est serte inexcusable mais personnellement j'ai vraiment accroché à elle que d'une manière je lui pardonne.

Ito Hideaki joue le rôle de Kawasaki Tomoya. C'est l’entraîneur des JC ARCS. Il est également le premier prétendant de Shirakawa Riko. Contrairement à celle-ci il est plus mature, dû à son âge. Lorsque Shirakawa Riko commence à s'éloigner de lui, il devient un peu plus mesquin mais en même temps c'est compréhensible.

Kaneko Nobuaki joue le rôle de Yoyogi Ren. Un joueur très prometteur sur le terrain mais en dehors c'est pas quelqu'un qui de recommandable : arrogant, égoïste.. Bref un mauvais caractère mais qui est souvent liée avec le fait d'être sportif de haut niveau.

Ebina Mai, interprétée par Kanjiya Shihori, est la meilleure amie de Shirakawa Riko. C'est une flûtiste et comme son amie, elle a un peu de mal à percer dans sa passion. Elle a un fort caractère, elle sait ce qu'elle veut et se donne les moyens pour réussir, un personnage très amusant.

Buzzer Beat est un drama qui m'a pas envoûté mais il m'a pas déçu non plus, un drama moyen donc. Mais Kamiya Naoki relève un peu le niveau au vu de son caractère, sans parler de Nanami Natsuki qui m'a charmé.

Recommander ce drama ou pas, une bonne question. Il faudrait tout de même le voir histoire de voir un héros différent des autres. Jetez-y un petit coup d'œil au moins.

Rookies

Titre Japonais/Français : Rookies

Genre : Sport

Première diffusion : 2008

Chaîne de diffusion : TBS

Réalisateur : Hirakawa Yuichiro

Casting : Sato Ruyta (Kawato Koichi), Koide Keisuke (Mikoshiba Toru) et
Ichihara Hayato (Aniya Keiichi)

Format : 11 épisodes de 50min + 1 spécial de 125min

Comme de nombreux J-dramas, Rookies est tiré du manga du même nom de Morita Masanori. Il existe également un film sortit après ce drama dont je n'ai pas vu une seule minute, c'est pourquoi je n'en parlerai pas.

Le lycée privé Futagotamagawa Gakuen accueil un nouveau professeur : Kawato Koichi. Mais pour son premier jour une bagarre éclate entre les membres du club de base-ball. Le club de base-ball n'en est pas vraiment un. En effet il n'est composé uniquement des délinquants du lycée qui ne font qu'exploiter les locaux afin d'avoir un coin pour eux. Cependant le nouveau professeur à un objectif : aider ses élèves à réaliser leurs rêves. Il va dont prendre en main le club de base-ball.

Les rebelles du lycée qui se reconvertissent grâce à leur professeur, ça à un air de déjà vu.. Malgré ça, le drama se regarde très bien. Au fil des épisodes on remarque également une accélération des évènements dans les derniers épisodes ce qui laisse une impression de travail bâcler pour avoir une fin correcte et acceptable. Attention tout de même, cette remarque n'est pas uniquement valable pour Rookies mais pour un très bon nombres de J-dramas, certainement dû à la dizaine d'épisode par drama.

Une particularité est à noter pour ce drama : pas d'opening. Un manque qui n'est pas mauvais signe mais qui change des habitudes. Concernant l'ending, c'est la musique GReeeeN - Kiseki qui est interprétée. Une bonne musique et qui colle bien au drama, qui donne une envi de se battre même contre l'impossible.

Sato Ruyta joue le rôle de Kawato Koichi. Un professeur un peu naïf, plein de rêve, d'espoir, un bon vivant.. Bref, c'est le héros typique dans ce genre de drama, anime ou autres. Comme souvent aussi, il a un passé un peu sombre mais il s'en sert pour tirer sa force.

Koide Kesuke joue le rôle de Mikoshiba Toru. Il est le premier membre pour le retour de la pratique du base-ball dans le club. C'est l'étudiant, le membre passionné par son sport. Un peu naïf, pas le plus doué mais passionné par le base-ball ainsi que très fraternel avec ses amis.

Ichihara Hayato joue le rôle d'Aniya Keiichi. Le plus doué de tous mais également celui qui est le plus touché par l'arrêt de l'équipe. En résumé, un dur au cœur tendre.

Nakao Akiyoshi joue le rôle de Sekikawa Shuta. Il est le deuxième à suivre Kawato Koichi dans son projet. Loin d'être le plus intelligent, il aime vraiment son sport ainsi que d'être avec ses camarades.

Shirota Yu joue le rôle Shinjo Kei. C'est le gros dur typique du genre. Pas très doué en base-ball, il fait tout de même parti du club pour être avec ses amis.

Yagi Toko, interprétée par Murakawa Eri, est la petite touche féminine de Rookies. C'est l'amie d'enfance d'Aniya Keiichi. Elle n'aime pas forcement le base-ball mais elle tient à cœur de soutenir ses camarades dans leur objectif de rejouer au base-ball.

Un drama qui ressemble à tant d'autres pour son fond. Mais même avec ça il est plaisant à regarder, on passe vraiment un bon moment durant les épisodes. Il ne sort pas du lot pour son originalité mais il nage au dessus de la moyenne.

Je le recommande si l'on cherche à voir un drama sans attentes particulières, il ne faut pas y avoir de grosses attentes pour pouvoir l’apprécier.

One Outs

Titre Japonais/Français : One Outs

Genre : Sport

Année de production : 2008

Studio : Madhouse Production

Auteur : Kaitani Shinobu

Format : 25 épisodes de 25min

L'un des premiers animes que j'ai vu en entier. En plus de ça, c'est l'un des très rare que j'ai revu plusieurs fois.

Kojima Hiromishi est le meilleur batteur de sa génération. Récompensé de nombreuses fois individuellement, il n'a cependant jamais remporté de titre avec son équipe : les Lycaons. Lors d'un camp d'entraînement, il va faire la rencontre de Tokuchi Toua, l'homme qui n'a jamais perdu au One Outs. S'en suivra alors un pari entre les deux hommes où leur avenir respectif sera en jeu.

L'anime tourne autour d'un personnage : Tokuchi Toua. Les autres personnages ainsi que le scénario ne sont que des faire-valoir pour notre homme. Hormis ce détail, le scénario est correct puisqu'il s'agit d'un anime sur le sport. Un anime de sport c'est un peu exagéré en fait, c'est plutôt un anime sur la psychologie des personnages. En tout cas, il nous rappelle bien que le sport n'est pas qu'une question de muscle, et ça c'est très bien! Un petit reproche tout de même, l'ambiance général de l'anime retombe un peu dans les derniers épisodes.. Mais la raison de cette remarque reste une petite inconnue pour moi..

L'opening, Bury par Pay money To my Pain, et l'ending, Moment par Tribal Chair, se resemble beaucoup. De bonnes musiques mais elles m'ont pas particulièrement marqué.

Le style graphique est très correct puisqu'il amplifie bien les caractères des différents personnages. Mais dans le même genre, il y a Kaiji qui est mieux réussit pour la mise en valeur des personnages.

Au centre de l'anime c'est Tokuchi Toua. C'est un personnage monstrueux, un vrai démon! Et c'est pour ça que je l'ai adoré. Il ressemble beaucoup à Yoichi Hiruma dans Eyeshield 21, une intelligence remarquable ainsi que des méthodes contestables mais très efficaces!

Afin d'éviter une certaine répétition je ne vais pas parler des autres personnages. En effet, les autres personnages ne sont pas mis en avant puisqu'ils sont là pour valoriser Tokuchi Toua. Loin d'être bêtes, ils sont surtout écrasés, masqués par la personnalité de notre héros.

One Outs est l'un des animes que je préfère! A chaque fois que je le regarde c'est toujours un moment de bonheur même si je sais déjà ce qu'il va se passer.

A voir et à revoir bien entendu. Je ne cesserais de le conseiller à tous et à toutes!

Fable II

Titre : Fable II

Genre : Action et RPG

Date de sortie française : 24 octobre 2008

Éditeur : Microsoft

Développeur : Lionhead

Tester sur Xbox 360

Voici le deuxième titre d'une série qui s'est imposé dès Fable premier du nom. En ce qui concerne le premier Fable je ne l'ai jamais joué entièrement, juste quelques minutes ici et là.

En Albion, deux enfants survivent tant bien que mal dans les rues du quartier populaire de Bowerstone. Rose ainsi que sa petite sœur, ou son petit frère selon votre choix, est surnommée Moineau. Les deux orphelins rencontrent une mystérieuse bohémienne qui leur demande d'acheter une boite à musique qui leur permettrait d’exaucer un souhait. Mais voila afin d’acquérir cette objet il faudra l'acheter cinq pièces d'or, et c'est là que notre premier choix intervient.

Le jeu se découpe en trois parties : l'enfance, l'adolescence et après la Flèche. La première partie est une petite introduction du jeu, en quelques minutes on fait déjà un bon dans le temps de dix ans. Une fois adulte on découvre enfin notre objectif qui est d'écarter la menace Lucien Fairfax afin de Sauver l'Albion. Afin de réussir notre quête nous devons retrouver le héros de la force Hammer, le héros de la volonté Garth ainsi que le héros de l'adresse Reaver. Comme toujours on doit sauver le monde, mais à la différence des autres jeux nous avons des choix qui influenceront le monde dans lequel on est plongé. Enfin en théorie c'est ce qui est dit, mais dans les faits les changements n'ont pas d'aussi grosses conséquences. Bien entendu on aura toujours le choix de vivre dans un monde paisible en faisant de bonnes actions, ou bien de vivre dans un monde sans lois où la terreur règne.

Fable II est dans la ligné de son prédécesseur au niveau graphisme. Un style graphique affirmé, de beaux décors, des personnages bien modélisés, bref pas grand chose à lui reprocher de ce côté là. Mais voila c'est personnellement pas ce que je préfère du coup j'ai pas accroché tant que ça.

Musicalement, le jeu est réussi. Durant les moments paisibles les balades en forêt ou les combats acharnés contre l'ennemie, la musique nous plonge un peu plus dans l'univers.

Le gameplay de fable est très simple et peut se résumer : en une touche pour une action. On distingue trois types d'attaques qui sont chacune caractérisés par un type d'expérience. Les attaques de mêlées sont représentées par les orbes bleus qui nous permettent d'augmenter la force, les attaques à distance par les orbes jaunes qui augmente l'adresse, la magie par les orbes rouges qui augmentent la volonté. Il y a aussi l'expérience générale, les orbes verts, qui nous permet de booster n'importe quelles caractéristiques. Normalement on devrait se spécialiser dans un domaine ou faire un petit mixte, mais au bout d'un certains nombres d'heures de jeu on arrive assez facilement à tout monter.

En ce qui concerne les quêtes elles sont plutôt nombreuses. Un système d'aide des quêtes nous est proposé par le biais d’une ligne lumineuse qui nous indique la direction afin de réussir la quête. Cette aide est plutôt utile puisque la carte n'est pas très lisible à mon goût. Je me suis perdu un certain nombre de fois avant de connaître pratiquement la carte par cœur.

Il y a un petit système de job aussi mais qui est très répétitifs et très ennuyeux, qui ne sert uniquement à gagner un peu d'or. Les jeux de hasards sont explicitent et le hasard vous fera gagner ou perdre. Mais pour gagner des pièces d'or le plus simple reste l’investissement en achetant puis louant les maisons.

On ne contrôle qu'un seul personnage et il est difficile d'expliquer son caractère puisqu'il s'agit de vos actions qui détermineront ce qu'il est.

Je n'en ai pas parlé jusqu'à la mais on a un compagnon durant notre aventure. Un chien qui nous aide surtout à trouver les objets puisque dans les combats il ne nous aide pas tant que ça.

En ce qui concerne les autres personnages je vais pas en parler puisqu'on ne les côtoie pas souvent, et qu'ils sont un peu plus des caricatures plutôt que des personnages originaux qui marquent les esprits.

En dehors de la possibilité d'agir sur l'Albion par nos choix, Fable II n'est pas très original. Mais voila, savoir que nos choix auront des conséquences ça donne un certain pouvoir de tout contrôler qui est plutôt jouissif.

Ne pas conseiller Fable II serrait une erreur. Accessible à tous même au moins habitués au genre. Cependant c'est peut être un reproche qu'on peut lui faire pour les plus gros gamer, mais même dans ce cas la le plaisir est présent.